‘The Cave of Trophonius’ de Stephen Storace, ou la grotte de l’oubli (1791)

« Interior of the Oracle of Trophonius in Livadeia » 1816 ( source ) Les compositeurs d’opéra anglais n’avaient aucune hésitation à emprunter de la musique pour l’intégrer dans leurs œuvres, procédé commun et tout à fait acceptable pour leurs compatriotes, même si cette attitude pouvait être considérée comme du vol par leurs contemporains continentaux. » Le Révérend John Trussler , oncle de Stephen et Nancy Storace, considérait que « […] un auteur ne doit pas être plus censure pour avoir embelli son œuvre avec des textes intéressants qu’il a rencontré au cours de ses lectures, qu’un voyageur qui orne sa maison avec des tableaux qu’il a recueillis durant son Grand Tour. » ( Memoirs , 1806) Il est peu étonnant que le frère de Nancy, le compositeur Stephen Storace , mandaté par Gallini, le directeur du King’s Theatre et par Sheridan et Linley pour le Drury Lane Theatre, pour rapporter des partitions et conclure des engageme...